Mme Mireille Mouelle

(Agence de presse panafricaine) -La semaine dernière l’Union Européenne et les Nations Unies ont voté des résolutions A l’initiative de Mme Mireille Mouéllé, ce parterre a été instruit aux préceptes de la gestion publique afin de taire les quiproquos y observés.

 

 

 

 

Les organes institutionnels sont régis par leurs statuts avec un pouvoir décisionnaire, exécutif ou consultatif. Ils ne sont pas pourvus d’autorité judiciaire. C’est la raison pour laquelle  bien que les États membres votent ses résolutions certaines outrepassent la portée y de l’acte ci-attaché en clamant à l’occasion leur souveraineté. C’est à la communauté  d’individus organisés de se les approprier comme outil de dissuasion et moyen de s’affirmer en la matière. En fait, chacun doit être à son rôle communautaire, à sa place hiérarchique, assumer ses responsabilités collectives à arborescence individuelle. C’est d’autant plus vrai que ce n’est pas à ces institutions à «mettre la cuillère de soupe dans la bouche», ou d’investir la rue . Il faut également reconnaître le travail d’engagement des personnes qui dans l’ombre consacrent leur temps à l’ouvrage sacerdotal pour le bien de notre humanité.

 

Madame Mouéllé : «C’est beaucoup de sacrifices, d’abnégation, un travail passionnant  avec parfois un résultat positif accompli avec de nombreuses ingratitudes, où trop de fois le sentiment d’agir seul au monde vous submerge or, l’importance de ces acteurs si discrets n’est plus à démontrer aussi longtemps que ceux-ci consentent à d’énormes sacrifices pour une appropriations des valeurs justes  par les populations concernées, du au fait des enjeux et incidences attachés aux actes inhérents aux résolutions internationales, et autres décisions édictées par des instances à vocation internationale de défendre les droits des êtres humains».

 

 

 

 

 

 

Kelle Dadou pour (App)

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