PHOTO VUE GENERAL QUARTIER JAPOMA

(Agence de presse panafricaine) -L’expansion territoriale de Douala du centre vers la périphérique est accélérée par la croissance démographique. L’augmentation du volume des activités quotidiennes des populations ont des conséquences : la production du gaz carbonique. Un gaz carbonique issu soit par la combustion du bois, des moteurs à explosions des véhicules et motocycles, des usines. Principale gaz responsable de l’effet de serre et de l’élévation de la température à Douala.

 

 

 

 

Le changement fréquent du temps au cours de la même journée au début du mois de juin deux mils vingt et un est aussi une autre manifestation du réchauffement climatique à Douala. «Après une matinée et un début de soirée bien ensoleillées, entre seize et dix-sept heures le ciel est devenu menaçant et une forte pluie  est tombée» déclare un passant. La diminution des arbres de la mangrove qui est un espace protégé à cause de la coupe du bois, explique aussi l’élévation de la température locale à Douala. «Les bouffées de chaleurs que nous vivons actuellement dans la ville de Douala est causée en partie par  la disparition de la mangrove la seule barrière verte» Didier YIMKOUA environnementaliste joint par téléphone En milieu urbain l’arbre a une mission de régulation du micro climat dans la zone où il est planté. Ses feuillages renvoient l’oxygène et captent le gaz carbonique en journée. Plus encore l’arbre a une mission d’éponge écologique «le gaz carbonique, gaz à effet de serre, capter par le feuillage des arbres en journée est transformé en éléments nutritifs et enfouis dans le sol par ses racines» explique Marcel Dimitri BEAT écologiste.

 

 

 

La coupe des arbres à Douala est perceptible partout, un des exemples qui vérifie à vue d’œil avec la disparition des palmiers dans le quartier «cité des palmiers» dans le cinquième arrondissement de Douala. Hors mis l’élévation de la température locale causée par la disparition des arbres à Douala, l’apparition des vents violents pendant les pluies. «S’il y a les arbres leurs feuillages vont ralentir la vitesse des vents» Didier YIMKOUA environnement Les villes insulaires comme Douala connaissent une augmentation du niveau des eaux ; comme c’est le cas à Cap Cameroun une île des îles de Manoka le sixième arrondissement de la ville de Douala. L’urgence est sur le reboisement de la ville de Douala et la réduction des coupes de bois, pour ramener et maintenir à vingt-six degré celcuis la température moyenne. Le non respect de certaines lois concernant le reboisement au sein des communes d’arrondissements de Douala, à savoir huit cents arbres pour un bloc de milles personnes, et amène les environnementalistes comme Didier Yimkoua à conclure il n’y a plus d’arbre à Douala ».

 

 

 

 

 Par Christophe NYEMECK (cp) pour (App)

 

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