(Agence de presse panafricaine)-Quand une injustice flagrante est commise, quoi de mieux que de taper du poing sur la table pour ramener les choses à l’ordre !

 

 

En effet, une information se susurre entre les employées et certains clients de cette institution bancaire et financière selon laquelle le Dg de celle-ci serait un fieffé obsédé sexuel, qui ne lésinerait guère sur sa posture et son aisance matérielle pour enrôler toutes les jeunes femmes qu’il rencontre au mépris de leur statut matrimonial, il croit surtout être immunisé en sa double qualité d’expatrié et de représentant diplomatique de fait, eu égard au caractère supranational de cette institution bancaire et financière de renom dont il érode ainsi dangereusement la notoriété. A preuve, connaissant la situation économique précaire du pays, aucune de ses victimes n’a toujours pas eu le courage de le dénoncer de peur de perdre son emploi à défaut des peccadilles qu’il leur distribue à tout vent. Aussi cette situation est-elle traumatisante à souhait pour nos femmes, nos filles, sœurs et autres fiancées travaillant dans cette institution. Plus grave, il aurait transformé cette institution en auberge espagnole à défaut de l’assimiler à une sorte d’héritage immobilier familial commis pour assouvir son pêché mignon.

 

Goujat

Sana honorabilité aucune, ce responsable de banque en arrive ainsi à fouler aux pieds les préceptes élémentaires du respect dû à la gent féminine plutôt ravalée à quelque objet sexuel, puisqu’il n’a de cure pour aucune strate de la gent féminine, bien qu’il soit lui-même marié. Pire encore, le canapé de son bureau est devenu le lieu par excellence pour les promotions de celles qui veulent avancer au sin de cette institution bancaire devenue dès lors la risée de sa concurrence directe. Celles qui ne cèdent pas à ses avances paient un lourd tribut en se voyant  affectées dans les zones en guerre du pays où en recevant des punitions pour des fautes illusoires. Tout ceci comme moyen de pression. En fait le goujat qu’il et de par son insatiable appétit sexuel ne voudrait lésiner sur aucune opportunité pour assouvir ce sombre dessein. A l’heure actuelle, deux directrices de cette banque qui ont eu des promotions-canapé se livrent à des guerres et disputes ouvertes au sein de la banque. Ce fumiste n’arrive pas à trancher ou à les punir parce que les deux dames sont ses conquêtes et partenaires sexuelles. Suffisant pour que les clients aient vent de ses exploits au point que le secteur bancaire tout entier est en branle, puisqu’en dépit de ses méfaits, l’homme continue de bénéficier d’une impunité questionnable surtout que ceux-ci sont loin d’être actuels.

 

Urgence judiciaire

Fort de ce qui précède et afin de diluer l’enlisement de l’ensemble dudit secteur dans des affaires de mœurs, il urge de sévir contre ce responsable en amenant notamment ses victimes à rompre la loi de l’Omerta, en bravant frayeurs et intimidations multiformes de sa part. car plus que jamais il s’agit de mettre ce dernier devant ses responsabilités civiles et sociétales qui lui imposent un arrimage aux dispositions réglementaires et aux bonnes mœurs. Pour ce faire, nous voudrions également mettre à contribution les instances décisionnaires de ce groupe bancaire et singulièrement son président du Gabon afin de regarder ce monsieur de très près, à envoyer quelques personnes en mission secrète afin de toucher du doigt tout ce qui se dit sur son soit disant protégé. Ce d’autant plus qu’il ressort que ce véritable prédateur sexuel clamerait à qui veut l’entendre qu’il serait le protégé de celui-ci qu’il aurait du reste introduit dans le cercle du pouvoir de Yaoundé. Est-ce alors la raison de son impunité de fait ?

 

Climat social délétère

Comme si cela ne suffisait pas, la banque en est à subir des démissions en cascade de personnels depuis peu, question pour les démissionnaires de n’être pas parties prenantes à ce scandale de mœurs qui inéluctablement déteint sur eux. Peut-être attend-on d’y vivre un drame pour arrêter la saignée ? Dans tous les cas, le ver est littéralement dans le fruit et il faut l’en extirper au plus vite. Un peu comme ce fut déjà le cas à Orange Cameroun où le Dg dut prendre la poudre d’escampette nuitamment.

Nous y reviendrons

 

Jean François Hiac (App) Paris

 

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