Justice-Trafic illicite d’armes
Fadoul Michel Zouhair

(Agence de presse panafricaine) – Indexé autant par les services français que de nombreux pays de la sous-région Cémac, l’homme d’affaires d’origine libanaise se débinerait de la justice, depuis qu’il sait son procès imminent pour trafic illicite d’armes.

 

 

 

D’après des sources concordantes, le procès afférent aux accusations contre l’homme d’affaires devrait s’ouvrir incessamment alors que le prévenu est porté disparu depuis la publication, le 20 février 2021 de ses agissements rédhibitoires. Serait-ce conséquemment un aveu ou quelque malveillante volonté de sa part de taire des récriminations à son encontre alors qu’au même moment, il ne s’offusque guère de déclarer tenir el laisse certains systèmes judiciaires de la sous-région où il se mouvait jusqu’alors ? Dans tous les cas, son côté pervers et cupide à souhait est désormais connu de tous et il ne saurait échapper longtemps aux fins limiers à ses trousses tant les motifs à son encontre sont extrêmement rédhibitoires. Surtout que par ailleurs ce dernier ne lésine guère sur les moyens pour s’adonner au trafic de nationalités en espérant ainsi se soustraire à la justice des pays d’accueil. au demeurant, l’homme dispose d’au moins cinq passeports acquis de façon peu orthodoxe dans divers pays de l’Afrique de l’Ouest en l’occurrence le Bénin, le Togo, la Côte d’Ivoire, le Burkina Faso où l’homme a bâti sa fortune en détournant sans vergogne le compte financier de l’ex-président Blaise Compaoré. Et fort de sa subite puissance financière, il se croit investi d’un destin singulier devant faire de lui la véritable plaque tournante des affaires commerciales tenues par ses compatriotes qu’on sait par ailleurs très actifs sur le continent africain, quitte pour ce faire à en déstabiliser les régimes à l’instar de la flambée de violences que connaît la sous-région de l’Uemoa où est fortement implanté sieur Fadoul Michel Zouhair.

Descente aux enfers

Cependant, ne dit-on pas que 99 jours jours pour le voleur et un seul jour pour le patron, un dicton populaire qui induit que l’heure est inexorablement arrivée pour qu’à défaut de rendre gorge, sieur Fadoul Michel Zouhair rende compte de ses nombreux crimes sur le continent et singulièrement en Afrique de l’Ouest et du Centre. Dès lors, sieur Guy Kodegue peut mieux dormir, lui qui aura enclenché la procédure judiciaire à son encontre. De même, il y a lieu d’entrevoir à brève échéance, le démantèlement de ses accointances avec de nombreux groupes criminels et autres rebelles sévissant en de nombreux pays africains et notamment en Centrafrique où le processus électoral fut perturbé récemment. Ce sera alors une victoire éclatante contre le crime organisé en Afrique avec tout cela compte comme déperditions de disponibilités financières assorties de troubles sociopolitiques sur le continent. Bien évidemment si des avocats africains véreux lui prêtent volontiers le flanc, il n’en demeure pas moins vrai qu’il devra par ailleurs faire face à la justice divine immanente à laquelle il ne pourra se soustraire.

Jean François Hiac pour (App) Paris

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