(Exclusivité Agence de presse panafricaine) -Clientélisme, népotisme, insubordination…C’est peu dire que l’actuelle ministre en charge de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation est corrompue jusqu’à la moelle.

Selon nos informations, dans ses envolées à la Ponce-Pilate, la ministre Lydie Béassemnda, a sommé le Directeur Général de l’Office national des examens et concours du supérieur (ONECS), organe chargé d’organiser le Baccalauréat, de placer ses hommes de main (liste complète ci-dessous) en bonne place dans le jury. Le DG qui n’avait pas le choix, souffle-t-on, aurait cédé. L’histoire du relevé des notes qui défraie la chronique au Tchad, en ce moment, en est une parfaite illustration. Une lecture minutieuse de la liste donne à voir que des bacheliers et « docteurs tchoukou » ont assuré le secrétariat dans le jury de l’examen de cette année.

Ce n’est pas nouveau…

Au jour le jour, des individus sans référence sont promus aux postes de responsabilité dans les services techniques du département de l’Enseignement en lieu et place des techniciens qui sont obligés de tourner les pouces sous les arbres. Convoquée par sa hiérarchie, rapporte-t-on, Lydie Béassemnda « a même nargué le Premier ministre ».

L’Agence de presse panafricaine est allée un peu plus loin dans la recherche de la vérité. Plusieurs sources confient que la ministre est sous la coupe d’un ancien responsable de l’Agence nationale de sécurité (ANS) connu sous le pseudo de DSK. Ce dernier aurait juré de l’aider à siéger dans le prochain Conseil National de Transition (CNT) qui sera mis en place sous peu.

Nous y reviendrons…  demain 16/09/2021

Jean-François Hiac, pour (App) Paris

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