(Agence de presse panafricaine) -Dans une indifférence quasi-totale, le Conseil militaire de Transition soutient la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Lydie Béassemnda qui se caractérise par la corruption, le clientélisme, le mépris et l’arrogance.
Tout le personnel du ministère dont cette fille à papa a la charge, ne sait plus à quel saint se vouer. Poussé à bout par le comportement belliqueux et moyenâgeux de Lydie Béassemnda, le Directeur Général adjoint du ministère de l’Enseignement, Mahamat Ahmat Gademi, avait pourtant tiré la sonnette d’alarme. Il avait écrit au Premier ministre Pahimi Padacké Albert (documents complets ci-dessous) pour soulever, un tant soit peu, la natte sur l’urine de Lydie qui confond ce ministère à une épicerie familiale.
Selon Mahamat Ahmat Gademi, contre toute attente, Lydie a fait venir un de ses proches – un certain Boïlengar comme une personne ressource qui participe, discute et décide dans toutes les réunions statutaires. Il est clair que, n’étant pas un officier ministériel désigné par un acte administratif lui accordant mandat public de gérer et prendre connaissance des affaires de l’Etat, cet acte est une faute grave qui nécessite de sanctions. Que nenni. Dans sa folie, la ministre établit un contrat de 100.000 francs CFA journalier soit (trois millions) 3.000.000 de francs CFA/mois à son Boïlengar. Selon certaines indiscrétions, elle est en passe de faire de ce quidam, Directeur Général du Centre national des œuvres universitaires (CENOU). La suspension des deux directeurs du CENOU est à inscrire dans ce registre de folie des grandeurs.
Pahimi impuissant ?
Plusieurs observateurs de la scène politique s’accordent à dire qu’au regard des soutiens dont bénéficie Lydie Béassemnda, le Premier ministre qui a été nargué il y a peu par cette dame, a peur de siffler la fin de la récréation. Puisque Lydie bénéficie, en dehors de son DSK, du soutien du grand frère (Hissein) de Mahamat Kaka, alors président du Conseil Militaire de Transition.
Affaire à suivre….
Jean-François Hiac, pour (App) Paris
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