Distinction-médecine
Dr Charles Hopson honoré pour l’ensemble de ses travaux

(Agence de presse panafricaine) -L’expert en médecine ortho moléculaire a été récemment honoré par la convention panafricaine des médias qui exaltant son œuvre pour la reconnaissance de la pharmacopée africaine dans le traitement de la pandémie à coronavirus qui depuis quelque temps a consacré le bienfondé de ces plantes largement actives par rapport aux vaccins sur le marché actuellement et qui ne sont pour lui en réalité  que de véritables adjuvants contrairement aux médications naturelles produites localement pour altérer la propagation dudit virus.

 

 

 

 

Une vaccination qui pourrait plutôt développer de nouveaux variants au Cameroun. Surtout que notre pays ne bénéficie pour l’heure que de candidats vaccins du reste controversés dans leurs pays d’origine respectifs. Or, depuis la semaine dernière, le Cameroun a entamé sa campagne de vaccination contre le coronavirus. Une campagne qui intervient après la réception de 200 mille doses Sinopharm, notamment par le premier ministre Joseph Dion Ngute. Dans une interview à nos confrères de la Plume de l’Aigle, Dr Charles Hopson se lâche : «Il faut déjà comprendre que, quand on parle de nouveaux variants, il y a eu deux premiers nouveaux variants : le nouveau variant d’Afrique du Sud et le nouveau variant d’Angleterre. Ces variants sont d’origine vaccinale. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que les premières personnes qui se sont portées volontaires pour recevoir les vaccins, avant qu’ils ne deviennent populaires, c’est de ces personnes-là que les variants ont eu des mutations».

 

Intimes convictions

Pour celui-ci en effet, cela veut dire que le virus arrive dans un corps qui a été vacciné et crée une autre version de ce virus-là que le corps ne peut plus tenir et soutenir. Et, c’est comme cela qu’on a vu le variant Sud-africain, qui n’existait pas, émerger. Puisque quand la Chine a commencé avec le coronavirus, il n’y avait pas de variant sud-africain, ni anglais. Sitôt a-t-on commencé à vacciner les gens de manière expérimentale en Afrique du Sud et en Angleterre, qu’on commence à avoir l’émergence des variants plus résistants que le virus original venu de la Chine. C’est de ça qu’il sera question au Cameroun s’inquiète-t-il. Au point même de prophétiser : «Le Cameroun  risque d’avoir ses propres variants d’ici peu comme on a commencé à vacciner les gens. Il faut noter qu’aucun de ces ‘’vaccins’’ n’est un vaccin. Ce sont des candidats vaccins. Qu’est-ce qu’un candidat vaccin ? C’est un vaccin expérimental. Ça veut dire que tous ceux qui prennent ce vaccin-là sont des cobayes. Et quand vous êtes un cobaye, tout peut arriver : soit vous fragilisez votre système immunitaire, soit vous mourrez, ou alors vous avez la possibilité de créer de nouveaux variants plus résistants», a-t-il conclu. Des convictions qui auront certainement milité pour sa nomination puis sa distinction au titre du prix d’excellence en recherche médicinale que lui a décerné la presse panafricaine le 14 septembre dernier.

 

 

Par Endy Pascale Ngueng pour (App)

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