(Agence de presse panafricaine)-La capitale nigériane a récemment abrité le 5e symposium sur les zones économiques spécifiques et l’impératif de la transition écologique afin d’y adosser l’industrialisation du continent dans l’optique d’un développement durable.

Cette autre édition aura fait la part belle à la reconnaissance tacite du Nigeria comme modèle de résilience en matière de créations de zones économiques à haute intensité de création de plus-value et d’emplois ans un environnement socioéconomique pourtant maussade et desservi par des crises itératives multiformes et qui au-delà du volet sécuritaire contraignent les états africains à constamment opérer des ajustements budgétaires sans parfois en maîtriser les incidences macroéconomiques.
Aussi ledit symposium se sera-t-il attelé à mettre en commun éminents experts, enseignants d’universités, institutions financières et bancaires et acteurs politiques majeurs afin de créer l’indispensable symbiose sans laquelle le continent ne pourra être en marge de cette néfaste ambiance plutôt encline à renforcer la paupérisation de notre continent. Au total, ce fut un conclave fortement suivi au point d’y compter pas moins de 38 agences de promotion des investissements productifs quand bien même le continent peut compter jusqu’à 52 zones économiques. Et au regard de l’importance de celui-ci, la cérémonie inaugurale fut présidée par son Excellence Muhammadu Buhari, Président de la République fédérale du Nigeria, bien qu’il y ait été représenté par son Excellence Umana Okon Umana, Ministre du commerce de l’état du  Delta du Niger. De même on y dénombrait de nombreuses hautes personnalités, à l’instar de son Excellence. Albert M. Muchanga, commissaire de l’Union africaine en charge de l’économie de développement, du commerce, du tourisme, de l’industrie et des mines, il en est de même de M Ahmed Bennis, secrétaire général de l’organisation africaine des zones économiques.
BAUDOUIN Nyobe pour (App) 

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