(Agence de presse panafricaine) -Les assises de l’union sportives d’Oyem (USO) se sont tenues le samedi 30 octobre 2021 à Libreville une manière pour la direction, les associations et les fans de converger les idées pour sa redynamisation. Reste à savoir si ces assises dont certains supporters de ce club rejettent d’ores et déjà après avoir pris connaissance du rapport.
les assises du club oyemois qui se sont tenues dans la capitale gabonaise dont l’objet était de donner un nouveau souffle au club en trouvant des mécanisme sur sa gestion administrative, sportive et sur le modèle économie qu’on pourrait adapter au club afin de mettre un terme aux problèmes des finances qui font stagner l’équipe, l’objectif final étant de faire d’USO, un club répondant aux exigences gouvernementales en matière de développement des associations sportives en application de la nouvelle loi sur le sport en général et celle des clubs d’élite en particulier. Si les organisateurs et les participants se disent satisfaits, c’est pas le cas pour de nombreux oyemois qui après avoir pris connaissance du rapport final ayant de ces assises, ils les considèrent comme étant un échec, loin de ramener la redynamisation et la cohésion souhaitée au tour de ce club mythique d’Oyem. L’organisation des assises de l’USO ne peut pas se décider en sourdine, si le directoire était sérieux. En lisant ce rapport, on retient ne retient absolu rien qui ressemble aux assises d’un club qui souffre d’un problème de management. Je fais partie de ceux qui ce sont opposées au changement de nom du club et je soutenais l’idée des assises. Donc, il fallait au moins un mois pour les préparer et elles devaient être organisées à Oyem en invitant tous les anciens dirigeants de ce club et des sages d’Oyem qui suivent USO depuis sa création et les anciens internationaux originaires de chez nous ,qui connaissent la gestion du football professionnel. Ce rapport ressemble plutôt à une réunion d’amis et les organisateurs de ces assises doivent savoir que ce club a une histoire écrite par les hommes et les femmes qui ont consacrés de l’énergie et des moyens pour que cette équipe reste au-devant de la scène. Franchement qu’on n’amène pas les comportements politiques dans le sport. A indiquée Maitre Minko greffier de profession et fils d’Oyem
Sous un autre angle, ce supporter d’USO estime que le président actuel n’est pas à la hauteur de diriger ce club qui a les réelles ambitions et qui peut être mieux géré. « En lisant le rapport de ces fameux assises, je me dis que Le président Touré qui est un petit frère que je loue le courage et son amour pour le club, est pris par ses turpitudes. C’est très grave lorsque qu’un président déclare n’avoir aucune connaissance des textes d’un club qu’il dirige depuis un peu plus de trois ans et dont il clame être l’un des fondateurs. Il doit à la limite démissionner, sinon il continuera à se faire ballonner. USO peut être mieux gérée, pas des petits arrangements entre individus, certains pour des raisons politiques et d’autres pour des raisons économiques. Ce qui est sûr, les véritables assises vont être organisées car un club avec autant d’années au sein de l’élite du football gabonais doit cesser d’être un club a sac à dos, c’est sa siège, ni archives. A-t-il conclu Il a été émis au bureau directeur d’USO d’organiser une nouvelle assemblée extraordinaire au plus tard à la fin de ce mois de novembre dans la commune d’Oyem. Notons que l’union sportive d’Oyem a été créée en 2002 et a accédé en première division en 2004, a déjà eu à sa tête quatre présidents à savoir ; Hubert Daladier Minang, Dr Daniel Ndoumou Obame, Parfait Duffy Bibang et Touré Asseko. Elle compte quatorze ans années de première division et une année en second division.
Ulrich Corso Sima Ella,correspondant (App) Gabon
