Dr. Franck Elmer ESSONO EDOH Conférencier, Coach et Formateur

(Agence de presse panafricaine) -À l’exemple du SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère lié au Coronavirus) et MERS-CoV (Coronavirus du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient) qui ont sévi mortellement dans plusieurs pays au début des années 2000, le nouveau « Coronavirus » ressemble à une couronne au microscope d’où sa terminologie. Ce virus a été baptisé scientifiquement « Covid-19 » par l’OMS, soit « Co » pour « Corona », « vi » pour « virus », « d » comme « disease » qui signifie maladie en anglais et « 19 » pour caractériser l’année d’apparition. La maladie à coronavirus 2019 est une maladie infectieuse provoquée par un nouveau virus qui n’avait jamais été identifié chez l’être humain. C’est en effet la cohabitation des animaux vivants (rats, serpents, chauves-souris..) et de la nourriture cuite destinés à la vente qui aurait occasionnée la création du Covid-19 au marché de Wuhan en Chine. Ce virus provoque une maladie respiratoire (analogue à la grippe) avec des symptômes comme la fièvre, la toux, et dans les cas les plus sévères, une pneumonie. Ainsi, le Coronavirus semble avoir des symptômes semblables au paludisme, associés aux symptômes du VIH SIDA, de la grippe aviaire, etc. 

 

 

 

 

Après prélèvements, les résultats d’examens sont connus sous 48 heures et une fois le patient est déclaré positif au Coronavirus toute personne l’ayant fréquenté est susceptible d’être simplement déclaré positif en cas de fièvre et de toux durant la période d’incubation. Ainsi, cette forme de désignation sans examens préalables de cas infectés reste arbitraire et subjective. Et c’est ce qui explique le nombre graduel de personnes infectées de par le monde. Autre contradiction, une étude américaine datant de mars 2020 publiée sur la chaîne télévisée L’œil Médias vient de confirmer que la désinfection des mains n’empêche aucune contamination et que l’utilisation abusive d’un gel hydroalcoolique serait nuisible pour la santé. Pourtant, cette recommandation en plus du port des masques à respiration sont exigées par les Autorités étatiques. Cependant, la transmission du virus se ferait davantage par voie aérienne selon les experts sanitaires. Il faut noter qu’il est difficile de faire le tri d’informations dans l’actualité internationale de la pandémie, ce dont nous sommes sûrs c’est que le Coronavirus existe bien avant son infection dans la région Wuhan en Chine en 2019. En effet, dans le gel désinfectant ANIOSGEL 85 NPC créé en 2016, le Coronavirus se trouve déjà dans la liste des virus à désinfecter.

 

 

De plus, tout comme le virus Ebola qui proviendrait du singe, la grippe aviaire proviendrait de la poule, le virus de la vache folle proviendrait de la vache, le virus porcin proviendrait du porc et aujourd’hui le Coronavirus proviendrait du pangolin, il est difficile et même aujourd’hui de prouver la contamination directe de l’animal à l’Homme. Aussi, ces viandes sont toujours autant consommées depuis des siècles sans la moindre contamination. Cependant, plusieurs virus sont le fruit de la manipulation en laboratoires. En effet, l’île de Riems reste le plus ancien centre de recherche en virologie au monde dirigé par Thomas Mettenleiter. Cette île est la plus dangereuse d’Europe et est surnommée ‘’l’Alcatraz des virus’’. Située en mer Baltique, des laboratoires ultra-protégées et hors norme sont présentes sur environ un kilomètre de long et 400 mètres de large, d’où sont conservés des centaines de virus potentiellement mortels pour l’Homme. En effet, il y est conservé dans des cuves de stockage des virus les plus dangereux au monde tels que la rage, la fièvre jaune, la variole, etc.

 

Déjà Alexandre ADLER en 2009, dans son ouvrage Le nouveau Rapport de la CIA : comment sera le monde de demain ? fait état d’une pandémie à l’échelle mondiale dont connaîtront les Etats. Les caractéristiques de cette pandémie livresque s’apparentent à celle du Coronavirus. Ainsi, il affirma à la page 250 qu’« Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent des résultats définitifs confirmant l’existence d’une maladie risquant de muter en pandémie. Entre-temps, des foyers se déclareraient dans des villes du Sud-Est asiatiques. En dépit des restrictions limitant les déplacements internationaux, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le virus sur les autres continents. Les malades seraient de plus en plus nombreux, de nouveaux cas apparaissant tous les mois. L’absence d’un vaccin efficace ou d’immunité dans le reste du monde exposerait les populations à la contagion. Dans le pire des cas, ce sont de dix à plusieurs centaines de millions d’Occidentaux qui contracteraient la maladie, et les morts se compteraient par dizaines de millions. Dans le reste du monde, la dégradation des infrastructures vitales et les pertes économiques à l’échelle mondiale entraîneraient l’infection d’un tiers de la population du globe et la mort de centaines de millions d’êtres humains. ».

 

A la suite d’Alexandre ADLER, le titre original de l’article de Jacques ATTALI datant du 6 mai 2009 est « Avancer par peur », c’est en fait la stratégie des dirigeants mondialistes. En effet, la peur est visiblement la seule étant susceptible de faire accepter aux gens ce qu’ils n’accepteraient pas en temps normal. L’histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que lorsqu’elle a vraiment peur : elle met alors tout d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des totalitarismes et des bouc-émissaires) ; parfois futiles (de la distraction) et parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Dans cet article, l’auteur affirme qu’ « une pandémie majeure  ferait surgir la prise de conscience de la nécessité d’un altruisme, au moins intéressé ». 

 

Depuis l’annonce officielle du Coronavirus le 21 janvier 2020 par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), soit 21 jours après l’alerte sanitaire lancée par le Médecin Chinois Li Wenliang du 30 décembre 2019, une psychose généralisée a permis aux dirigeants du monde de prendre un ensemble de mesures de prévention dans le cadre de la lutte efficace contre la propagation du Coronavirus. Au vu de la vitesse de propagation à l’échelle mondiale, il est plus qu’évident que le silence coupable de l’OMS dont la déclaration officielle tardive du 21 janvier 2020 a permis le déplacement d’un million de personnes depuis Wuhan pour différents pays du monde, selon les chiffres officielles des autorités municipales de Wuhan. C’est le début de la propagation à grande échelle qui n’a pas pu être stoppé par la fermeture des frontières et des gestes barrières, au point de faire dire à Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur Général de l’OMS, que « l’Afrique doit se réveiller face à la menace du Coronavirus et se préparer au pire ». Aussi, malgré que la Chine ait orchestré cette pandémie il n’en demeure pas moins qu’elle enregistre des décès au quotidien. Ainsi, nous avons laissé la Chine devenir l’usine du monde globalisé et surtout financiarisé. Dès lors, lorsque la Chine tousse, la planète tremble de fièvre dans ses moindres recoins. En plus des médecins pour des solutions médicales, nous aurons également besoin de docteurs en économie qui devront inventer des ripostes efficaces et durables pour garantir, sans faiblesse, l’avenir.

 

Face à cette constatation, il est évident que les Etats africains ne sont pas macroéconomique prêts pour protéger leurs populations de la virulence du Coronavirus. Déjà dans un climat de récession économique pour des pays qui exportent pour la plupart leurs matières premières brutes, le faible niveau de protection sanitaire ne peut en aucun cas stopper la propagation de la pandémie malgré la litanie des mesures gouvernementales, dont le confinement total des populations reste la plus imminente. Dans la situation où ces mesures gouvernementales, plus impopulaires les unes que les autres, ne s’accompagnent pas de mesures d’aide économique, les Etats africains connaîtront davantage des instabilités politiques qui viendront intensifier la grogne sociale existante des populations, qui se plaignent sans cesse du manque d’amélioration continue de leurs conditions de vie. En effet, la crise du Covid-19 pourrait être en Afrique ‘’la crise de trop’’ qui déstabilisera durablement de nombreux régimes politiques à l’agonie. Elle sera probablement le révélateur des limites de capacités des Etats incapables de protéger leur population. Elle va également amplifier les facteurs de crises des sociétés, de même qu’un nombre élevé de morts et les décès de plusieurs dirigeants. De plus, la crise sanitaire va révéler de nouveaux rapports de force politique pour le contrôle de l’Etat, pendant et après la pandémie. En effet, les Etats africains n’ont pas toujours pu obtenir le personnel de santé et le système sanitaire en adéquation avec la pandémie du moment.

 

In fine, le continent africain avait été choisi par la communauté scientifique pour l’expérimentation du vaccin contre le Coronavirus. En effet, l’invention de tout vaccin requiert une phase expérimentale humaine ou animale pour l’observation des effets cliniques du traitement, et c’est le continent africain le moins infecté par le coronavirus qui était désigné en cobaye de laboratoire. Cette affirmation a été donné par Jean-Paul Mira (Chef de service de l’hôpital Cochin de Paris) et Camille Locht (Directeur de recherche à l’INSERM) lors d’une émission sur les antennes de la chaîne télévisée LCI. Face à cette mentalité occidentale qui voit en Afrique la déchèterie du monde, nous invitons les Chefs d’Etat africains à prendre leurs responsabilités devant les peuples du continent et invitons également les forces vives africaines à faire un bloc en dressant un barrage bétonné contre le projet tendancieux, provocateur et funeste des scientifiques à col blanc. Il serait judicieux d’engager une action en justice pour complot de crimes contre l’humanité si l’histoire venait à se répéter.

 

Toutefois, il sied de constater que la maîtrise des foyers de contamination et des chaînes de propagation est prioritaire pour stopper durablement la virulence de la pandémie En Corée du Sud, il s’observe un phénomène des plus étranges. En effet, des patients considérés guéris du Covid-19 ont été à nouveau testés positifs à la pandémie après leur sortie de quarantaine. Des cas similaires ont déjà été observés en Chine et au Japon. Selon les chercheurs du Centre de contrôle et de prévention des maladies sud-coréen (CDC), le nouveau Coronavirus pourrait se « réactiver » chez des patients pourtant considérés comme guéris. C’est quelques cinquante-un (51) patients sud-coréens guéris qui ont été de nouveau testés positifs selon le directeur général du CDC, Jeong Eun-Kyeong. C’est dire qu’il ne faut pas s’attendre à ce que la vie reprenne son cours normal avant qu’un vaccin ou un remède contre le Covid-19 ne soit disponible. Ce qui prendra vraisemblablement entre 12 à 18 mois selon les prévisions de l’Agence de la Santé Publique du Canada (ASPC) dans sa déclaration du 9 avril 2020.

 

 

 

Dr. Franck Elmer ESSONO EDOH

Conférencier, Coach et Formateur

 

 

 

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