gabon
Ministre Francis Nkea

(Agence de presse panafricaine) -Le Ministre réaffirme l’engagement constant du Président de la République à œuvrer pour une bonne gouvernance, en appliquant la loi sur les récentes révélations de détournements qui font écho ces derniers jours.

 

 

 

Le ministre de la promotion de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption Francis Nkea Ndzigue, depuis son arrivée à la tête de département ministère ne ménage aucun effort pour éradiquer le phénomène de corruption qui devient un véritable virus qui tue l’administration gabonaise. Ces efforts se sont illustrés par l’arrestation des hauts cadres de la république. Mais le phénomène bien nourri a changé de méthode  et continue de faire son bout de chemin.

 

Dans une communication publiée récemment par ce ministère sur ses canaux de communication, le ministre affirme son l’engagement constant du Président de la République à œuvrer pour la bonne gouvernance au Gabon. L’une des priorités de ce second mandat du Président Ali Bongo Ondimba, en affermissant les mesures sur les nouvelles personnalités citées fraîchement dans les affaires de corruption. «Suite à la révélation de plusieurs cas de détournements de deniers publics perpétrés ces derniers temps au sommet de l’Etat, le Ministre de la Promotion de la Bonne Gouvernance et la lutte contre la corruption tient à rappeler que le Président de la République conduit actuellement une politique de tolérance zéro à l’égard de la corruption et infractions assimilées. Autrement dit, tous les coupables seront soumis à la rigueur de la justice. Selon l’article 506 du Code pénal, le détournement de deniers publics est passible de la peine de vingt ans de réclusion criminelle au plus et de cent millions d’amende au plus».

 

 Le ministre Francis Nkea qui est dans une lutte compliquée , mais reste convaincu qu’à ce stade, si la réduction de la corruption ne se fait pas, le pays ne pourra avoir des bonds qualitatifs dans la capacité à apporter des solutions aux problèmes de nos compatriotes. Cette vision doit être perceptible à travers la poursuite des réformes surtout en matière d’impunité, de consolidation de la bonne gouvernance et de gestion des finances publiques. Dans le dernier classement de l’indice de perception de la corruption de Transparency international. Le Gabon occupe les cent vingt-neuvièmes places mondiales sur cent quatre-vingt économies et territoires et vingt septième au plan africain sur cinquante-quatre nations.

 

 

 

 

Ulrich Corso Sima Ella,correspondant (App) Gabon

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