(Agence de presse panafricaine)-Le magazine s’est relancée pour traiter de la vie des entreprises et soutenir l’économie et les managers africains.
A l’extrême droite, juste en bas du logo, une petite titraille revenant sur la rencontre entre le patron des patrons camerounais Célestin Tawamba et le Directeur général des impôts Modeste Mopa Fatoing, après près de 2 ans d’animosité. Du même côté et en bas, une autre presque de la même taille de police, sur la crypto-monnaie lancée par le Chef de l’Etat Centrafricain, le Pr Touadera. A l’extrême gauche, l’annonce sur le sacre par les chercheurs de l’Ascomt, de l’ex-Dg des Brasseries du Cameroun, Emmanuel De Tailly comme le meilleur manager socialement responsable au Cameroun. Toujours du même côté, en pied de Une, le retour en scelle après la prison, d’un ex gestionnaire de fonds publics en Rdc, Vital Kamerhe. Au milieu de cette première page, un nom : Manany ! illustré par une taille de caractère imposant, comme l’image sur laquelle il est posé. On a envie de parler d’un gentleman africain. Pour de vrai, la photo de Abakar Adam Manany, illumine la couverture du Magazine de l’Economie et de l’Entreprise. Le lecteur apprend ainsi de la Une de Le Manager Africain, que l’homme d’affaires Tchadien par ailleurs Ministre d’Etat, Conseiller à la Présidence de la République, fait perdre le sommeil à des détracteurs. Ce support du manager envisage que l’indépendance financière et matérielle de ce dirigeant d’entreprises établi à l’international, doit lui faire aussi des jaloux et des ennemis dans son pays, le Tchad. Où, il susurre à l’oreille du Président.
Désormais destiné à un public plus large, le Magazine s’intéresse à l’actualité économique et des décideurs du Continent ; « notamment ceux de la sous-région Afrique Centrale ».
D’après Pam, la Chief Executive Officer (CEO) de Le Manager Africain joint depuis le Canada, il faut savoir exalter ceux qui ont le goût et la prise du risque, «tous ceux qui participent à l’amélioration des conditions de vie dans les pays du Continent par la création de la richesse, leur choix d’investir dans ces contextes parfois non favorables en termes de climat des affaires. Il faut saluer leur volonté de participer à la lutte contre la pauvreté, leur engagement à contribuer au développement des Nations Africaines, leur sens de responsabilité… ». Elle parle alors de la Responsabilité Sociétale des entreprises (RSE). Concept dont sont férus, certains spécialistes de l’économie de ce support. A l’instar du Dr Paul Nyemb Ntoogue de son Conseil éditorial.
Hermine Yeye pour (App)
